Proposer un article
Raison publique ne privilégie pas d’orientation théorique particulière. Résolument axée sur le contemporain, elle accueille aussi volontiers des contributions plus historiques, pour autant que celles-ci soulignent leurs implications contemporaines. La revue publie aussi des commentaires et des réponses faisant suite à des articles parus dans ses pages.
Sont privilégiées les contributions qui, sans rien sacrifier de la rigueur académique et de la précision requises, restent accessibles à un public non spécialisé. La revue présente des dossiers thématiques, composés à partir d’appels à contributions. La revue publie aussi des contributions libres.
Les autrices et auteurs sont donc invités à soumettre à la rédaction tout article ou tout projet de dossier relevant de ses axes de recherche et de réflexion.
La rédaction ne publie pas de critiques non sollicitées. Elle ne recense pas non plus, mais se contente de signaler, les publications des membres de la rédaction.
Les articles reçus font l’objet d’une double évaluation par des spécialistes du champ concerné, membres de la rédaction ou non. La rédaction peut être amenée à demander des révisions, à suggérer des modifications. Les auteurs et autrices proposant des images pour illustrer leur contribution doivent s’assurer des autorisations de reproductions requises.
Les articles doivent être adressés, accompagnés d’une courte notice biographique, à l’adresse suivante: redaction@raison-publique.fr.
Calibrage des contributions
Critiques : entre 8 000 et 20 000 signes (espaces compris)
Analyses : entre 20 000 et 40 000 signes (espaces compris)
Dossier: l’ensemble d’une dossier peut compter jusqu’à 10 contributions, introduction comprise, pour un maximum de 400 000 signes (espaces compris).
Pour faciliter la lecture des textes, la rédaction recommande l’utilisation d’intertitres.
Présentation des références
Pour encadrer les citations, utiliser les guillemets français. Exemple: « texte cité » avec espace insécable. Les guillemets anglais doivent être réservés pour une citation dans une citation.
L’appel de note se place toujours avant tout signe de ponctuation. Exemple : « On le place ici1. »
Les références mobilisées dans l’article sont citées, complètes lors de la première occurrence, dans les notes de bas de page et ne sont pas rassemblées dans une bibliographie placée à la fin de l’article. Ces références sont à présenter de la manière suivante :
- Exemple pour un livre : Michel Foucault, L’Archéologie du savoir (1969), Paris, Gallimard, coll. « Tel », 2008.
- Exemple pour un livre traduit : John Rawls, Théorie de la Justice (1971), trad. fr. par C. Audard, Paris, Le seuil, 1989.
- Exemple pour un chapitre de livre: Jean-Fabien Spitz, « Le conséquentialisme hybride de Samuel Scheffler : défense et illustration » dans S. Guérard de Latour & M.-A. Dilhac (dir.), Étant donné le pluralisme. Paris, Éditions de la Sorbonne, 2013, p. 27-53.
- Exemple pour un article dans une revue : Marie Gaille, « Corps, santé, vie et mort dans la décision médicale : un “chantier” pour la démocratie », Raison publique, 2014/2 (N° 19), p. 53-67.
Pour deux références successives extraites du même ouvrage, utiliser ibid. avec éventuellement un nouveau numéro de page : Ibid., p. 124. Pour deux références non successives : Marie Gaille, op. cit., p. 56.