Comment qualifier juridiquement le viol? Pour tenter de répondre à cette question, Johanna Lenne-Cornuez passe en revue et discute différentes approches pivotant autour de la notion de consentement.

LA REVUE DES HUMANITES POLITIQUES
Chloé Chaudet est maîtresse de conférences en littérature générale et comparée à l’Université Clermont Auvergne et membre de l’IUF. Dans Fictions du grand complot (Hermann, 2024), elle montre comment les narrations complotistes, en particulier dans leurs déclinaisons fictionnelles, contribuent à nourrir un « grand récit » qui perdure depuis des siècles en multipliant ses supports et en élargissant sans cesse ses cibles. Un entretien avec Maxime Decout.
Dans “Basic Equality” (2024), Paul Sagar soutient que l’égalité est une disposition à agir fondée sur une fiction. Jean-Fabien Spitz propose une analyse de l’ouvrage.
Comment qualifier juridiquement le viol? Pour tenter de répondre à cette question, Johanna Lenne-Cornuez passe en revue et discute différentes approches pivotant autour de la notion de consentement.
Les articles rassemblés par Clélie Millner et Delphine Louis-Dimitrov dans ce dossier consacré au “récit de soi”, abordent de concert les enjeux philosophiques et littéraires de la construction narrative du moi et de son rapport au monde. Ainsi réunis, ils montrent la pertinence d’une question qui lie une forme de configuration narrative, voire plus largement artistique, du sujet et son lien à l’autre, qu’il soit singulier (tout autre) ou à l’aune d’une communauté politique (tous les autres).
Quels sont les enjeux associés à l’usage des technologies de reconnaissance faciale dans l’espace public à des fins de surveillance? Ce dossier, conçu par Malik Bozzo-Rey, Anne Brunon-Ernst et Claire Wrobel, examine dans une perspective pluridisciplinaire les questions que ces technologies soulèvent, en s’intéressant à ses dimensions juridiques, éthiques, littéraires et artistiques.
Comment qualifier juridiquement le viol? Pour tenter de répondre à cette question, Johanna Lenne-Cornuez passe en revue et discute différentes approches pivotant autour de la notion de consentement.
Dans “Basic Equality” (2024), Paul Sagar soutient que l’égalité est une disposition à agir fondée sur une fiction. Jean-Fabien Spitz propose une analyse de l’ouvrage.
Chloé Chaudet est maîtresse de conférences en littérature générale et comparée à l’Université Clermont Auvergne et membre de l’IUF. Dans Fictions du grand complot (Hermann, 2024), elle montre comment les narrations complotistes, en particulier dans leurs déclinaisons fictionnelles, contribuent à nourrir un « grand récit » qui perdure depuis des siècles en multipliant ses supports et en élargissant sans cesse ses cibles. Un entretien avec Maxime Decout.
Les articles rassemblés par Clélie Millner et Delphine Louis-Dimitrov dans ce dossier consacré au “récit de soi”, abordent de concert les enjeux philosophiques et littéraires de la construction narrative du moi et de son rapport au monde. Ainsi réunis, ils montrent la pertinence d’une question qui lie une forme de configuration narrative, voire plus largement artistique, du sujet et son lien à l’autre, qu’il soit singulier (tout autre) ou à l’aune d’une communauté politique (tous les autres).
Présentation : L’éveil à la philosophie dès le plus jeune âge – qui se développe sous des formes diverses partout dans le monde depuis plus
Coup de projecteur sur l’oeuvre de Claude Lefort dans le dossier, coordonné par Justine Lacroix et Jean-Yves Pranchère, que lui consacre le n°23 de la revue Raison publique.