Un impérialisme américain?
Peut-on parler d’un “impérialisme américain”? En 2003, Michael Walzer (Princeton) ne le pense pas. Il s’en explique en analysant la situation géopolitique faisant suite à la guerre en Irak .
Lire la suite...LA REVUE DES HUMANITES POLITIQUES
Peut-on parler d’un “impérialisme américain”? En 2003, Michael Walzer (Princeton) ne le pense pas. Il s’en explique en analysant la situation géopolitique faisant suite à la guerre en Irak .
Lire la suite...En s’appuyant sur une analyse de la Marche patriotique en Colombie, Laura Quintana montre que la conception de la démocratie condition l’interpétation des conflits sociaux et politiques.
Lire la suite...Pour Ludovic Frobert (ENS Lyon), l’étude de la réception en France au début du XXe siècle des débats allemands sur le capitalisme permet de compléter, sur le versant économique, l’analyse du « moment républicain » français au tournant 1900, et de ses développements ultérieurs.
Lire la suite...Par ses œuvres, l’artiste afro-américaine Kara Walker nous confronte sans ménagement aux significations symboliques et même anthropologiques de la couleur. Dans cet article, Rémi Astruc (Cergy Université) s’attache à souligner la dimension politique de sa charge symbolique.
Lire la suite...Travaillant de l’intérieur et en profondeur la domination et plus particulièrement sous l’angle de ceux qui s’y soumettent, Lydie Salvayre, lui restitue toute son opacité et par-là même son caractère proprement politique. Une analyse de Sylvie Servoise.
Lire la suite...Pour Etienne Balibar, les déterminations de la culture et de la religion portent sur un même « objet ». Mais celui-ci est si général, si plastique, qu’il prête à des constructions ou à des représentations hétérogènes, voire incompatibles. Comment aborder politiquement ce différend?
Lire la suite...Samuel Scheffler (New York University) analyse la signification philosophique du trumpisme et, face à l’essor de l’autoritarisme, interroge la pertinence du libéralisme en tant que théorie politique.
Lire la suite...Marlène Jouan propose de réfléchir en s’appuyant sur les travaux de Judith Butler sur le deuil public après les attentats du 13 novembre 2015.
Lire la suite...Alain Renaut est revenu, à l’occasion du quarantième anniversaire de la mort de Hannah Arendt, sur l’interprétation arendtienne de la banalité du mal.
Lire la suite...D’un point de vue démocratique, on souligne que le pouvoir politique n’est légitime que dans la mesure où son exercice est conforme à la volonté du peuple; selon le nationalisme culturel, il n’est légitime que dans la mesure où il se conforme à la culture prépolitique de la nation. Mais la démocratie et le nationalisme culturel sont tous deux confrontés à un même problème : comment déterminer les limites de la collectivité censée légitimer le pouvoir politique? Dans l’espace ouvert par cette question, Arash Abizadeh analyse la dynamique qui conduit de la démocratie à un nationalisme culturel qui se mue fréquemment en un nationalisme ethnique.
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