Les effets de l’Histoire
Jean-Baptiste Mathieu se penche sur L’art de perdre d’Alice Zeniter (Flammarion, 2017).
Lire la suite...LA REVUE DES HUMANITES POLITIQUES
Jean-Baptiste Mathieu se penche sur L’art de perdre d’Alice Zeniter (Flammarion, 2017).
Lire la suite...Pour Clélie Millner, les deux romans de Nicole Krauss désignent leur auteure comme héritière et les romans eux-mêmes comme de possibles palimpsestes : les fictions prétendent humblement à la transmission d’un texte fantôme, inaccessible, qu’elles aident pourtant à se représenter.
Lire la suite...La figure de l’enfant est celle qui exprime le mieux le processus d’accoutumance aux chocs, en particulier de la guerre, qu’offre le cinéma à ses spectateurs et qu’ils réclament. Car la guerre est pour l’enfant le processus d’acclimatation aux chocs de l’existence poussé à son paroxysme. Une analyse de Stanislas de Courville.
Lire la suite...Pour Sylvie Servoise, Calvino et Kertész font le choix de partir d’un horizon d’attente déterminé – ce que l’on sait, ou croit savoir, de l’enfant, et de l’enfant dans la littérature – pour amener le lecteur à autre chose : une réflexion morale et politique sur des expériences historiques de la Seconde Guerre mondiale.
Lire la suite...Pour Sophie Jouanno, la mort d’un enfant n’est pas un sujet anodin dans l’œuvre de Camus, mais un thème central et symbolique qui nourrit profondément sa réflexion sur la condition humaine.
Lire la suite...Comment relever le défi d’une « autobiographie impersonnelle », pour reprendre la formule d’Annie Ernaux, et comment expliquer un tel geste ? Un dossier consacré aux Années, issu d’une journée d’études organisée à Le Mans Université par Sylvie Servoise et Jordi Brahamcha-Marin, présenté ici par Sylvie Servoise.
Lire la suite...Chez Annie Ernaux, la contestation de l’intime en tant que catégorie rejoint une réflexion sur la dimension politique propre à toute entreprise de construction ou de déconstruction de l’histoire littéraire. Une analyse de Marie-Jeanne Zenetti.
Lire la suite...Jordi Brahamcha-Marin interroge ici la capacité d’Annie Ernaux à réaliser son projet d’une autosociobiographie.
Lire la suite...Aurélie Adler reconstruit plusieurs parcours possibles au sein des Années en s’appuyant sur des phénomènes de consonances – thématiques, génériques ou poétiques – entre Ernaux et trois auteurs, Marcel Proust, Simone de Beauvoir, George Perec.
Lire la suite...Dans cet article, Clélie Millner s’intéresse au mouvement constant qui traverse l’oeuvre d’Annie Ernaux qui rend impossible l’ordonnancement du récit de soi.
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