Au cours des dernières décennies, la transparence s’est imposée comme une exigence dans la conduite des affaires publiques. Sandrine Baume (Lausanne) examine les origines doctrinales de cette exigence et en dévoile la richesse sémantique.

LA REVUE DES HUMANITES POLITIQUES
Au cours des dernières décennies, la transparence s’est imposée comme une exigence dans la conduite des affaires publiques. Sandrine Baume (Lausanne) examine les origines doctrinales de cette exigence et en dévoile la richesse sémantique.
Lire la suite...Dans Politiques de l’inimitié, Achille Mbembe parle non pas de la postcolonie mais du monde en tant qu’échelle globale d’un système destructeur. Une analyse de Catherine Coquio.
Lire la suite...Jean-Baptiste Mathieu se penche sur L’art de perdre d’Alice Zeniter (Flammarion, 2017).
Lire la suite...Jean-Fabien Spitz a lu Richard Tuck, The Sleeping Sovereign : The Invention of Modern Democracy (Cambridge University Press, 2015).
Lire la suite...Jean-Fabien Spitz a lu le livre d’Eric Nelson, The Theology of Liberalism. Political Philosophy and the Justice of God (Harvard University press, 2019, 220 pages).
Lire la suite...Jean-Fabien Spitz (Paris 1) lit Jonathan Israel, A Revolution of the Mind, Radical Enlightenment and Intellectual Origins of Modern Democracy (Princeton University Press, 2010)
Lire la suite...Si le droit international interdit et réprime la pratique abjecte des violences sexuelles perpétrées à l’encontre des enfants, les dispositifs de réinsertion dans la vie civile pour les filles enfants soldats restent cependant insuffisants. Une analyse juridique de Nora Hervé.
Lire la suite...Pour Clélie Millner, les deux romans de Nicole Krauss désignent leur auteure comme héritière et les romans eux-mêmes comme de possibles palimpsestes : les fictions prétendent humblement à la transmission d’un texte fantôme, inaccessible, qu’elles aident pourtant à se représenter.
Lire la suite...La figure de l’enfant est celle qui exprime le mieux le processus d’accoutumance aux chocs, en particulier de la guerre, qu’offre le cinéma à ses spectateurs et qu’ils réclament. Car la guerre est pour l’enfant le processus d’acclimatation aux chocs de l’existence poussé à son paroxysme. Une analyse de Stanislas de Courville.
Lire la suite...Pour Sylvie Servoise, Calvino et Kertész font le choix de partir d’un horizon d’attente déterminé – ce que l’on sait, ou croit savoir, de l’enfant, et de l’enfant dans la littérature – pour amener le lecteur à autre chose : une réflexion morale et politique sur des expériences historiques de la Seconde Guerre mondiale.
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